après Eyjafjöll

2010. Le volcan Eyjafjöll répand ses cendres un petit peu partout sur l’Europe, seulement deux jours sur Reykjavík (à 150 km ; ça gratte la gorge) et avant tout sur le glacier qui l’entoure (Eyjafjallajökull) et l’extrême-sud du pays.

La couverture noire permet à l’herbe de repousser très vite, sous le printemps lumineux de l’Islande. Mais coincés entre les volcans et l’océan, sur une île où presque rien ne pousse, les fermiers sont surtout des éleveurs de moutons, qui n’ont pas survécu.